Serre pédagogique
A la porte du Lycée, il y a la 1ère serre à gauche où le visiteur pénètre dans un lieu pédagogique aménagé pour découvrir la plante ou l'espèce dans un milieu recomposé. Lors de notre reportage, le 14 avril 2024, la porte était fermée avec une affiche ayant ce message inscrit " Fermeture de la serre à cause d'un vol de plantes". Chaque année, il y a de nombreux vols de plantes rares malgré l'implantation d'un système de caméra.
Les différents espaces consacrés à la végétation tropicale sont très humides. La programmation gère le taux d'humidité dans chaque espace. Régulièrement, une pluie fine crée un brouillard dans les espaces confinés. La température est tropicale dans la serre.
Le visiteur va découvrir la végétation de l'Amérique du Sud et de sa canopée, au fond, il y a une belle collection d'orchidées.
Le niveau de la chaleur humide est très élevé, elle est étouffante. L'hiver, le choc est brutal avec l'extérieur.
Au milieu de cette végétation luxuriante, on aperçoit ici et là des fleurs. On peut observer comment certaines plantes tropicales se développent sur certains supports.
Jardin Alpin
Le jardin alpin a une superficie d'environ 800 m². Il a été entièrement rénové à partir de 2012. Cette rénovation était importante car deux espèces végétales, le liseron et la prêle étaient en train d'envahir l'espace dédié à la végétation montagnarde. Les premières pierres du jardin alpin remontent à 1888 avec des plantes récoltées dans les Alpes. A partir de 1894, on élargit la provenance des espèces à la Nouvelle Zélande et à l'Himalaya.
Le projet a été confié à Thibault Duret, jardinier botaniste pour concevoir le nouveau jardin alpin. Le nouvel agencement a exigé + 300 tonnes de pierres et 400 espèces végétales en provenance des Alpes, de l'Himalaya, de la Cordillère des Andes, ...
Dans les années 2020, de nouveaux travaux sont entrepris afin de redéfinir les différents espaces réservés aux différentes espèces.
Situation en 2017
La rénovation a permis de restaurer la circulation de l'eau afin de reproduire les petits ruisseaux de la montagne. L'espace du jardin alpin est entouré d'un espace maritime d'origine avec une rivière et un marais où il y a plusieurs espèces de Nymphéacées. Les nouvelles variétés montagnardes plantées sont issues des graines importées. Les jardiniers ont planté les graines dans les serres spécialisées du parc pour obtenir la taille nécessaire avant une implantation sur l'emplacement dédié.
En cette période de l'année, on aperçoit le travail de la nature sur l'évolution des différentes espèces. Certaines sont en fleurs, d'autres commencent le cycle végétatif avant l'arrivée de l'hiver. La roche omniprésente apporte la touche minérale nécessaire aux visiteurs pour appréhender le milieu montagnard.
Situation en 2024
Au printemps, l'endroit est verdoyant, il y a un développement remarquable de certaines espèces avec des floraisons ici et là. On aperçoit encore quelques zones de travail, mais dans l'ensemble, ce lieu botanique mérite une attention de la part des visiteurs.
Jardin botanique
Le jardin floral est magnifique dans cette saison. La collection de dahlias est impressionnante.Il y a une débauche de couleurs et de formes, ce tableau est le plus impressionnant du Parc de la Tête d'Or. La collection est labellisée. Les vivaces apportent une touche poétique à cet ensemble végétal.
Afin de favoriser la contemplation et la méditation, il est installé ici et là des fauteuils et des chaises à la disposition du public gratuitement. Le visiteur peut se reposer et prendre le temps d’immortaliser dans sa mémoire les tableaux végétaux de dame Nature.
Des étangs sont installés pour présenter l'écosystème des Dombes. On peut observer les poissons, les canards, les grenouilles, ...
La visite de la serre ronde ou serre "Victoria" s'impose pour observer les nymphéa "Victoria regia". La taille des feuilles peut dépasser 3 mètres de diamètre.
Après cette pause à contempler la nature au soleil, on pénètre dans la serre des plantes carnivores. La rénovation a permis de recomposer cet ensemble végétal. Aujourd'hui, on constate la bonne "santé" des plantes carnivores présentées. Le visiteur est toujours surpris de constater comment certaines plantes survivent dans un milieu hostile.
La collection de Pivoines est labellisée "Collections Nationales" (CN) par le Conservatoire des Collections Végétales Spécialisées. Au niveau de son origine, a priori, les premiers pieds proviendraient d'un don de l'Impératrice Joséphine de Beauharnais à la Ville de Lyon. Actuellement, cette collection comprend + 350 espèces de pivoines (botanique & horticole).
En Asie, la Pivoine est un symbole vénéré dans plusieurs pays comme la Chine, le Japon, ...La culture chinoise véhicule la pivoine comme la fleur de la richesse, de la bonne fortune et de l'honneur. Sa culture a donné naissance à + 1.000 espèces horticoles.
A Lyon, à la fin du mois de février 2021, quelques pieds de pivoines commençaient à sortir de terre dans l'espace botanique réservé aux pivoines.
Un panneau d'information permet d'illustrer l'implantation des pieds de pivoines selon un ordre établi. La période de fleurissement des pivoines s'étale de mai à juin de chaque année. Notre visite à la fin mai garantit une belle floraison de la plupart des espèces plantées. Il a été aménagé des espaces identifiés par le panneau "Point photo" afin de canaliser les photographes parmi les pivoines.
Chaque pied de pivoine est accompagné d'un panneau où l'espèce est indiquée. Ce détail a son importance, cela permet aux visiteurs de noter la variété s'ils veulent la commander dans une pépinière spécialisée.
Visite le 14 avril 2024
En ce début du printemps, la période a été ensoleillée avec des températures moyennes d'environ 16° avec des pics à + 20°. En conséquence, la floraison des pivoines était avancée d'environ 15 jours. Les variétés les plus précoces sont en fleurs. Le spectacle est toujours aussi spectaculaire à admirer.
Le spectacle est magnifique, on va de découverte en découverte. Chaque espèce de pivoine herbacée et de pivoine arbustive enchante l'observateur par ses couleurs et sa texture. Les bouquets floraux naturels proposent à la vue des dégradés de rouge et de rose avec des feuillages avec plusieurs nuances de vert. La palette de ce tableau de nature vivante est grandiose.
En septembre 2021, une nouvelle visite s'imposait pour découvrir les nouveaux parterres où les différentes espèces du Canna étaient à l'honneur. Chaque tableau composé découvre une palette de couleurs magnifiée par le végétal.
La période de septembre à octobre est une période où le végétal se sublime avec ses couleurs automnales. Le bouquet floral de chaque parterre attire le visiteur qui est admiratif du travail des jardiniers pour proposer au public de véritables tableaux éphémères.
La Roseraie Botanique
La roseraie Botanique est un espace d'environ 2.000 m² où il est planté environ 400 pieds de rosiers hybrides et anciens. Les rosiers horticoles sont classés par espèces et catégories. Il est intéressant d'observer les variétés primitives d'Europe, d'Amérique & d'Asie.
Lors de notre visite du 14 avril 2024, on put admirer certains rosiers en fleurs en liane, en grimpant et en arbuste. Les rosiers lianes s'étalaient sur + 10 m de long. Les couleurs dominantes sont le rose, le rouge et le blanc. Les étiquettes sont utiles afin d'informer le public sur la variété plantée.
Les Grandes Serres
Les grandes serres tropicales humides abritent des arbres très impressionnants comme le bananier, le cacaoyer, papayer, le caféier. L'hiver, la température avoisine les 35 °.
Le dépaysement est total. On se retrouve plonger au cœur de l'Amazonie, il manque les cris perçus dans ce type de milieu mais l'écosystème présenté au public est d'une grande qualité. Depuis la rénovation de cet espace, on a perdu de la densité qui rappelait la forêt vierge.
La grande nef culmine à 22 mètres. Cette hauteur est indispensable pour favoriser la croissance des palmiers, ... et des bananiers. Les plantes se sont appropriées les escaliers en colimaçon et les structures métalliques. L'effet esthétique de cette communion entre le métallique et le végétal est visuellement intéressant. Cette image nous projette une scène où l'action du temps favorise le développement de la nature sur la construction humaine éphémère par essence.
La serre réservée aux camélias était très impressionnante lors de la période de floraison entre février - mars. Le nouvel agencement a supprimé un certain nombre de variétés. Cette collection est remarquable mais elle n'a plus l'ampleur d'antan.
Roseraie International de Lyon
Le Parc de la Tête d'Or possède 3 roseraies "La roseraie de concours, la roseraie internationale et la roseraie botanique".
La Roseraie Internationale de Lyon s'étend sur 5 hectares et compte environ 30 000 rosiers répartis en 350 variétés. Elle a été inaugurée par la princesse Grace de Monaco et le Maire de Lyon en 1964. Depuis la fin des années 2010, les abords de la Roseraie Internationale ont été revus afin de proposer aux visteurs un parcours éducatif mais aussi un espace de détente au milieu d'un jardin paysagé.
Ce lieu au cœur de Lyon est l'endroit recherché pour les photographies de mariage. Le cadre est exceptionnel au moment où les rosiers sont en fleurs entre le mois de mai & juin. En matinée, le lieu n'est pas encore envahi par les Lyonnais.
En déambulant dans les allées et en empruntant les pas, on découvre une palette de couleurs merveilleuse. On prend un certain plaisir à flâner au milieu de cette végétation organisée autour des milliers de rosiers.
Roseraie de Concours
En 1930, il est créé l'espace de la "Roseraie de Concours". Sa vocation est de permettre la mise au point de nouvelles variétés. Le paysagiste Philibert Lavenir a été chargé du projet. Il crée un 1/2 cercle à partir de l'ancienne ferme du parc.
Chaque année, cet espace propose une centaine de nouvelles variétés non-commercialisées de plusieurs sociétés horticoles avant la décision d'un jury du Concours International de Roses nouvelles. Au cours de ce Concours, il est élu "La Plus Belle Rose de France". Le plus ancien plant de la roseraie est le "Persian Yellow" daté de 1858.
Visite du 14 avril 2024
Visite du 20 mai 2023
Il est exposé une grande variété de roses anciennes et de roses plus récentes ayant obtenues un prix.
Le visiteur peut se prendre au jeu du concours de la plus belle rose de l'Année. On accède librement aux pieds, on peut étudier de près la forme, l'intensité de la couleur, son parfum, sa portée ... une affichette permet de connaître le nom de la rose sauf les roses en concours dans ce cas, il y a un numéro.
La Société Francaise des Roses est implantée à Lyon (Société Française des Roses Parc de la Tête d'Or 69459 Lyon cedex 06 Tél : 04 74 94 04 36 E-mail: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ) dans l'un des berceaux de la culture de la rose en France.
En 2015, le 17e Congrès mondial des Sociétés Nationales de Roses a eu lieu à Lyon pour la 1ère fois en France après le Japon en 2006, le Canada en 2009, et l'Afrique du Sud en 2012. La terre lyonnaise où les grands noms de rosiéristes comme Meilland, Guillot, Pernet Ducher, Laperrière, Schwartz, Dubreuil... œuvrent à développer des nouvelles variétés, ont accueilli cet évènement international.
Porte du Lycée
Au retour, à proximité des petites serres qui devront être rénovées vers 2020, mais en 2024 on ne constate aucun chantier sur le site !!!, il y a une exposition remarquable de plantes grasses, de cactées avec des palmiers, ...
En septembre 2021, on peut contempler les mini espaces végétaux dont la plupart sont fleuris. Le visiteur peut observer les compositions végétales où les associations fonctionnent parfaitement et les associations moins heureuses.
Serre Mexicaine
Dès l'entrée, le visiteur est plongé dans un univers botanique inconnu. On est plongé dans un milieu aride où poussent seulement certaines espèces végétales capables de résister à des conditions extrêmes. Une forêt de cactus et de plantes grasses s'ouvre aux visiteurs.
Animations
Au cours du week-end "Les Rendez-vous aux Jardins" du 6 & 7 juin 2021, le Jardin botanique du Parc de la Tête d'Or à Lyon a organisé des visites. Dans ce cadre, il était obligatoire de réserver en ligne et la visite était gratuite.
Notre reportage s'est réalisé le dimanche 6 juin. Le rendez-vous était fixé à 11h devant les Grandes serres. L'animateur "Nature" se présente et il précise tout de suite qu'il n'est pas un botaniste ni un jardinier du parc, mais une personne chargée de l'accueil et de l'animation des publics. Après une présentation un peu longue sur l'héritage horticole de la région lyonnaise, nous allons dans un espace réservé au personnel du jardin botanique situé derrière les grandes serres.
Dans un premier temps, on découvre chaque installation avec son utilité. On est informé que les plantes des espaces verts de la Ville de Lyon sont produites à environ 40 kilomètres sur des terres maraîchères. Cette solution permet d'obtenir la superficie utile à toutes les plantations annuelles qui sont planifiées. La direction de la végétalisation des espaces verts s'est engagée dans une politique de réduction des coûts en intégrant les principes écologiques.
Ainsi, une nouvelle politique d'aménagement a été conduite afin de formaliser une nouvelle végétalisation de Lyon. Il a été acté de procéder à la mise en place de plantations comme les graminées qui réduisent le remplacement des plantes. Le niveau rythme imposé est de 2 plantations par an pour tous les espaces verts sauf à l'Hôtel de ville de la place des terreaux et quelques emplacements au Jardin botanique du Parc de la Tête d'Or.
Les installations sont assez modestes par rapport aux milliers de points à végétaliser dans tous les arrondissements de Lyon. En pratique, les jardiniers de la ville de Lyon rapatrient sur le site du Parc de la Tête d'Or leurs commandes au dernier moment. Les milliers de pieds de plantes fleuries sont disposés dans les espaces réservés aux jardiniers. L'évolution météorologique conditionne la date de la réelle disponibilité des plantes à mettre en place dans les emplacements comme les platebandes, ...
Lors de la rénovation ou de l'élaboration d'une scène dans l'une des serres, le personnel du Jardin botanique confectionne des supports le plus proche possible de la réalité. Par exemple, on utilise de l’écorce de liège et une armature métallique afin de reconstituer un arbre. Cet assemblage creux permet d'installer des systèmes à l'intérieur de l'arbre en fonction des demandes formulées par les botanistes.
Dans une autre serre, cet espace est réservé aux plantes de la serre mexicaine. Actuellement, il y a un grand vide, mais dès l'approche des grands froids toutes les plantes sont apportées dans cet endroit chauffé. Il faut en moyenne 3 semaines pour réaliser cette migration.
Ici et là, on peut observer des plantes dans des milieux parfois aquatiques. Les plantes les plus rares sont celles menacées d'extinction au niveau mondial. Le jardin botanique lyonnais participe comme environ 400 jardins botaniques internationaux à la préservation et à la conservation des graines afin de constituer une banque mondiale des espèces végétales.
Chaque année, il est constaté le vol de 300 à 500 plantes dont des plantes en voie d'extinction. En conséquence, une partie des végétaux rares ne sont plus exposés au public pour limiter le vol. Ainsi, certaines serres ont été réaménagées avec des vitrages pour limiter le vol. Exemple avec la serre des plantes carnivores et les orchidées.
Les visiteurs sont impressionnés par la taille des agrumes à proximité des grandes serres.
On apprend que la ville de Lyon a aboli les traitements chimiques depuis 2007 dans tous ses espaces verts. En conséquence, les botanistes et les jardiniers ont expérimenté des solutions écologiques afin de faire face à certaines attaques de parasites. Cependant, le jardin botanique lyonnais bénéficie d'une l'autorisation dérogatoire d'utiliser certains traitements afin de protéger les végétaux les plus rares. Après chaque traitement agressif, il est recueilli les eaux polluées de la zone traitée, puis elle passe dans les bacs de dépollution. Une fois l'eau dépolluée, elle retourne dans le système normal de la ville de Lyon.
Les haies en buis ont disparu du parc car le traitement efficace nécessitant plusieurs passages d'un produit chimique était interdit par les procédures internes au jardin botanique lyonnais. Actuellement, il existe une zone expérimentale avec plusieurs essais en cours sur de la végétation afin d'évaluer le potentiel écologique dans le traitement de telle ou telle maladie.
Au niveau de l'approvisionnement de l'eau, le Parc de la Tête d'Or bénéficie d'une eau souterraine pompée dans les sources.
A ce moment de la visite, on s'approche de la "nurserie". On aperçoit des milliers de pots avec de minuscules plantes et de végétaux en instance de plantation.
Cet espace jardiné met en œuvre plusieurs pratiques pour faire face aux aléas climatiques au cours de la période hivernale. Par exemple, dans certains bacs, le sol constitué de sable est traversé par un faible courant électrique. Ce système permet d'obtenir une température d'environ 10 ° l'hiver. Chaque végétal est planté dans un pot en terre cuite afin de faciliter les échanges thermique et hydrique.
Sur chaque étiquette, il est mentionné la famille, le genre et le nom de l'espèce.
Au cours de la visite, on arrive à un espace de modélisation de l'espace alpin. Des essais de cultures sont réalisés et parfois les botanistes constatent une acclimatation sur cet espace de modélisation alors que le végétal ne réussit pas à s'implanter dans l'espace alpin du Parc de la Tête d'Or.
L'animateur Nature nous emmène vers la deuxième partie de la visite pour nous faire découvrir l'espace réservé aux travaux de la terre, du compost .... de la ville de Lyon.
On pénètre dans une serre où il y a des milliers de végétaux. On apprend que ces plantes sont les végétaux sauvegardés depuis la fermeture de la petite serre centrale aux visites du public, mais au personnel depuis 2012, car le bâtiment était en train de s'effondrer. Le port du casque était obligatoire pour le personnel pour rentrer dans cette serre.
Lors de la fermeture du lieu, il a fallu disperser une grande partie de la collection avec des végétaux rares. Plusieurs solutions ont été mises en œuvre afin d'évacuer le lieu, ainsi il a été organisé une vente de charité au profit de plusieurs Associations humanitaires, elle a rapporté - 2.000 €. Certaines pièces valaient des milliers € !!!
Depuis les élus locaux (Mairie, Département & Région) ne s'investissent pas dans la réalisation de la rénovation des petites serres ..... des promesses ...!!!
En résumé, une visite instructive à la fois sur le Jardin botanique, mais aussi sur les différentes activités proposées au public.
Le 9 juin 2021, nous avons interpellé le Président de la Région Auvergne Rhône Alpes, Laurent Wauquiez sur la rénovation des Petites Serres:
"Lors de ma visite au Jardin botanique du Parc de la Tête d’Or de Lyon du 6 juin 2021, j’ai été étonné d’apprendre qu’une partie des petites serres sont délabrées depuis au moins une décennie. Les pouvoirs publics ne se mobilisent pas dans la réhabilitation des petites serres depuis des lustres.
Je souhaite connaître les travaux entrepris depuis votre élection à la présidence de la Région dans le cadre de cette réhabilitation du site.
Le passé horticole de la région lyonnaise mérite un investissement des collectivités territoriales (Région, Département & Métropole) afin de faire bénéficier les citoyens de la Région Auvergne Rhône-Alpes..."
Voici la réponse de la Région du 21 juin 2021 par l'intermédiaire de John Girardot, chargé de mission:
Suite à la réponse du Conseil Régional Auvergne Rhône-Alpes, nous avons reformulé notre demande auprès de la Mairie centrale de Lyon. Il était impossible d'adresser au Maire Grégory Doucet directement notre demande. Nous avons reçu cet e-mail le 22 juin 2021.
Le 12 septembre 2021, les questions posées n'ont toujours pas de réponse de la part de la Ville de Lyon, cependant, il est apparaît maintenant une information succincte sur une opération de rénovation des Petites Serres sur le site du Parc de la Tête d'Or.
Affaire à suivre
Infos
Parc de la Tête d'Or
Place du Général Leclerc 69006 Lyon Tél: 04.72.69.47.60
Horaires:
Le jardin extérieur
D’octobre à mars : 9 h-17 h
D’avril à septembre : 9 h-18 h
Le jardin alpin
De mars à septembre : 9 h-11 h 30
Les serres
D’octobre à mars : 9 h 00-16 h 30 / Sans exception.
D’avril à septembre : 9 h 00-17 h 30 / Fermeture le dimanche à partir de 17 h.
Tarifs: gratuit
Antonio MENDES DA PAULA